(quand j'aurai plus de temps, je créerai des pages par domaine: histoire, etc.)
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Pasionnant, riche, vivant
Spécialiste des XVIè et XVIIè, Aimé RICHARDT a publié de nombreux ouvrages tout aussi passionnants qu'ils sont faciles à lire. Son 'Fénelon' a été couronné par l'Académie Française.J'ai lu plusieurs de ses ouvrages parmi les dizaines de livres d'histoire que j'ai étudiés cette année. Ce Colbert est vivant, captivant. L'auteur nous présente un homme d'une grande puissance de travail, d'une intelligence vaste, au service d'un roi assez unique et de son pays - et de sa propre famille. A lire aussi Le Soleil du Grand Siècle. Louis XIV et Son Règne, Les savants du Roi-Soleil, Louvois. le bras arme de louis XIV |
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Je souhaite compléter en indiquant que j'ai trouvé cet ouvrage vraiment passionnant. Et facile lire. Il regorge d'éléments précis et de renseignements sur la vie médiévale dans les campagnes. L'auteur présente les multiples systèmes d'organisation (peuplades, hôtes, sauvetés, communautés, quévaise, etc.)… montrant à quel point le mythe du servage généralisé qu'on nous sert dans tous les livres scolaires est un mensonge. J'ai trouvé très intéressants aussi les paragraphes sur la relation de l'homme avec la nature (Don gratuit de Dieu… d'où le glanage, le grappillage, etc.). Ainsi que les pages sur le rôle de la forêt, de la lande, de l'eau. Puis celles développant l'influence du Marché dans l'économie médiévale. On peut compléter cette lecture par le petit livre de Jean Gimpel "La révolution industrielle du Moyen Âge" qui contient une partie très riche sur l'agriculture. Et retrouver les thèmes majeurs de ces deux auteurs dans l'ouvrage qu'ils ont co-signé avec Régine Pernoud "Le Moyen-Âge pour quoi faire ?" |
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Vivant, clair, intelligent
Spécialiste des XVIè et XVIIè, Aimé RICHARDT a publié de nombreux ouvrages tout aussi passionnants qu'ils sont faciles à lire. Son 'Fénelon' a été couronné par l'Académie Française.
Ici, l'auteur nous présente un érudit dont le nom est bien connu… la vie sans doute moins. De son enfance sans aucun doute difficile, en passant par une vocation non choisie, jusqu'à la fin de sa vie et l'appel que lui fit le pape à accepter de devenir Cardinal - ce qu'il refusa. Aimé Richardt nous présente les amitiés du célèbre humaniste, et ses oeuvres à travers des extraits et des commentaires. Ainsi que les disputes auxquelles il a participé, en particulier son combat écrit avec Luther. Si Erasme a beaucoup dénoncé les abus de membres de l'Eglise de l'époque, il est resté fidèle et loyal. Sans cacher les limites de la personnalité d'Erasme, l'auteur dresse un portrait plutôt sympathique d'un homme dont la pensée et la méditation peuvent nous inspirer aujourd'hui encore. A lire, du même auteur: Luther; Calvin; Henri VIII et le schisme anglican |
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Très intéressant
Malgré quelques longueurs (à mon goût), ce livre épais se lit facilement, avec un grand intérêt.
Outre la figure étonnante et fort sympathique qu'il présente (sans en nier les limites), il replace les événements dans leur contexte large, ce qui facilite une bonne compréhension.
J'ai aussi bien apprécié les compléments présentant divers protagonistes, dont certains personnages assez étonnants (Wingate, par exemple).
Outre la figure étonnante et fort sympathique qu'il présente (sans en nier les limites), il replace les événements dans leur contexte large, ce qui facilite une bonne compréhension.
J'ai aussi bien apprécié les compléments présentant divers protagonistes, dont certains personnages assez étonnants (Wingate, par exemple).
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Passionnant et touchant livre d'Histoire
En 1911, le Mexique tombe sous la coupe des Francs-Maçons bolchéviques anti catholiques et alliés aux WASP des USA. Petit à petit, le gouvernement met en place des lois anti catholiques, et persécute l'Eglise. En 1926, l'Eglise se voit contrainte de devoir cesser tout culte public. Le peuple mexicain, catholique presqu'entièrement, se révolte.Ce livre présente le combat du peuple Mexicain (hommes, femmes, enfants) contre un gouvernement fantoche et cruel, dictature athée soutenue par les USA anti-catholiques. Il montre l'engagement de tous ces gens attachés à leur religion, démunis mais tout donnés à leur foi. Ce n'étaient pas des fanatiques, simplement des "résistants". A la fois simples et profondément croyants. L'influence de Sainte-Thérèse de Lisieux en est un signe évident. Ils se sont battus avec idéal, attachés au respect des personnes, contre des brutes sans foi ni loi. Les Mexicains ont été systématiquement persécutés, déportés, tués. Il suffisait de porter une médaille ou une croix pour être abattu immédiatement. Les résistants ont cherché de l'aide, en vain, auprès des catholiques du Nord' encore très racistes à l'époque: il était impensable d'aider des Mexicains, même frères sur le plan religieux. Les faits relatés dans ce livre sont odieux. Le Pape Pie XI et le peuple mexicain ont été trahis par quelques archevêques. En 1929, le peuple dépose les armes, convaincu qu'il s'agit de la demande du Pape. Les résistants sont ensuite massacrés... pendant des décennies. Les lois anti-religieuses ont duré plus de 70 ans... Lorsque Jean-Paul II visite le Mexique en 1979, elles sont encore en vigueur. Ce n'est qu'en 2006 que les élections vont changer les choses. La persécution maçonne et bolchévique a duré près de cent ans. Le Mexique reste cependant un pays où la liberté religieuse n'est pas encore complète en 2011. Jean-Paul II et Benoit XVI ont canonisé et béatifié quelques dizaines des martyrs Cristeros qui firent tant pleurer Pie XI. Le livre (réédition de 2006) présente les faits, les enjeux. Et un portrait des Saints et Bienheureux. Le récit est clair, émouvant et édifiant. Voici une page essentielle de la vie de l'Eglise du XXè siècle, et des totalitarismes. L'auteur est un fin connaisseur de l'Amérique Latine, il a publié moult articles et livres. Pour cet ouvrage, il a exploré le Mexique, lu des centaines de témoignages, rencontré des survivants. |
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Vaste synthèse, pénétrante
Mgr Rey évoque un panorama des multiples enjeux qui se présentent, sur le plan éducatif. Son exposé est à la fois pénétrant, puissant et convaincant.Les parents, les éducateurs, etc, y trouveront de quoi nourrir leurs réflexions et analyses. Et les équipes encadrantes de quoi appuyer la construction d'un projet éducatif vraiment éducatif. Thèmes principaux abordés: Partie I: Ch 1: Apprendre à penser, à raisonner. Ch 2: Dialogue et quête de la vérité. Ch 3: Fidélité et équilibre. Ch 4: La gestion du temps Ch 5: Adhésion au réel face aux dérives de l'imaginaire: le défi d'internet. Ch 6: Exercice de l'autorité Ch 7: Habiter son corps Ch 8: La souffrance et le pauvre. Ch 9: Eduquer à l'amour et à l'affectivité. Ch 10: ouverture à l'universel Partie II: Ch 1: Projet pastoral Ch 2: Typologie pastorale Ch 3: Mise en oeuvre pastorale Partie III: Ch 1: Ecole communauté Ch 2: Ecole de témoins Ch 3: Accents pastoraux Ch 4: Pédagogie évangélique Les habitués des ouvrages de Tony Anatrella y trouveront des points de contact. J'ai particulièrement apprécié les développements concernant l'action pastorale, et j'y retrouve de nombreux éléments de ma réflexion depuis des années. J'indique dans un commentaire joint quelques extraits qui m'ont particulièrement touché, correspondant à mon analyse en tant que cadre éducatif dans le privé sous contrat. Quelques petits points sur lesquels je ne m'accorde pas tout à fait: - l'auteur semble parler des professeurs surtout, or l'équipe éducative est d'abord constituée de cadres et d'éducateurs. Hélas, bien souvent, les profs gardent leur distance, beaucoup ne veulent pas s'engager dans des domaines qui ne concernent pas directement leurs disciplines et le déroulement de leurs cours; à tort. Espérons que ceux qui liront l'ouvrage se sentiront appelés à s'investir, et à voir leur intervention de manière plus intégrale! - "placer l'élève au centre" est le discours de l'Enseignement Catholique depuis qlq années. Je ne suis pas convaincu par ce centrisme qui dérive souvent à faire de l'enfant un roi. Si nous sommes au service des jeunes, nous sommes aussi au service de la vérité; et le Centre Véritable est le Christ. De plus, ce discours actuel du "jeune au centre" conduit souvent à oublier la place de l'éducateur et je suis plus en phase avec JC Barreau "Dans la vraie pédagogie, celui qui est au centre, c'est l'éducateur, quel qu'il soit" (p125 de son livre "Nos enfants et nous"). Or, dans une école, c'est l'équipe d'éducateurs et de profs qui fait le boulot, c'est elle qui doit être la première servie afin que les élèves soient bien servis à leur tour par cette équipe. - le livre omet (ce n'est d'ailleurs pas vraiment son propos, mais il y a des points de contact tout de même) l'aspect Management dans nos écoles. Beaucoup d'établissements sont très archaïques sur ce sujet. Et un grand nombre ne respecte pas non plus la loi ni les Conventions Collectives (pas même dans leur esprit). Se prétendre catholique, faire de la pastorale, etc, quand en même temps on sous paye et exploite son personnel, sous le prétexte fallacieux qu'on est là "pour servir", ça n'est pas cohérent.
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Rigoureux et bien dessiné
S'appuyant sur les travaux des spécialistes de Jeanne d'Arc, comme Régine Pernoud, cet album est aussi fort bien dessiné (dans un style très classique mais très plaisant).Excellent album pour passer un bon moment de culture et de détente, et de foi. |
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Une profonde humanité et une belle aventure
Ce livre-témoignage est une reprise, un peu condensée, du livre "Bye Bye Geneviève". Il est abordable par les jeunes dès le collège.Cette toute jeune fille grandit dans une famille très pauvre et simple, et très digne. Le père est alcoolique et violent à l'égard de sa fille. Heureusement, la mère est très humaine et pleine de bon sens. Elle aide sa fille à grandir, de façon très droite. Geneviève fait aussi quelques rencontres qui sont de grandes consolations. Dans cette vie passée à quelques kilomètres de Sainte-Mère-Eglise survient la guerre, puis le débarquement. La famille de Geneviève habite un poste SNCF, au bord des marais où tombent des centaines de paras américains. La maison des Maurice devient un refuge et une sorte de havre pour tout blessé. Geneviève y fait quelques rencontres fortes, et des expériences extrêmes. A travers tous ces événements, nous découvrons une jeune fille sensible, pleine de délicatesse et d'attention aux autres malgré les épreuves. Et le livre en est rempli! Le récit est passionnant et émouvant. C'est une bonne alternative aux multiples romans de Fantasy qui sont en-dehors du réel. Voilà de l'aventure vraie! Nos jeunes d'aujourd'hui y trouveront un exemple de courage, de détermination, de don de soi, de vie spirituelle simple et solide. Peut-être réagiront-ils en se plaignant moins, en acceptant de faire des efforts, et en se tournant vers les autres? Notre monde en a besoin! N'hésitez-pas à l'offrir! Même à un enfant. |
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Passionnant et touchant
Livre passionnant et touchant à la fois. Il nous fait entrer dans une période troublée, et nous offre un autre regard que celui auquel les manuels nous conditionnent trop souvent.A travers la courte vie d'un jeune officier, nous entrons dans la complexité humaine. Et dans le questionnement récurrent d'A von Kageneck. L'auteur ne livre d'ailleurs pas de réponse qui satisferait une conscience éprise de tranquillité. Il nous expose une vie, et, à travers elle, celles de quelques autres résistants de l'intérieur du Reich. Une prise de conscience, une interrogation intérieure qui mûrit, bouleversée par des éléments contradictoires, et une décision d'homme libre. Roland von Hoesslin a servi son pays, jusqu'au bout. Intéressant de lire aussi combien l'Allemagne nazie était une dictature, et luttait contre les Allemands eux-mêmes, par une terreur qui a duré jusqu'à l'écroulement final. J'aimerais citer quelques lignes de l'ouvrage: "L'Allemagne n'est apparue que comme un champ de déshonneur, comme si on ne pouvait pas dire que des millions de victimes allemandes de la guerre sont "mortes au champ d'honneur". Comme si on ne pouvait dissocier les comportements individuels des soldats des abominations du nazisme." " Les armées du IIIè Reich ont eu leurs hommes d'honneur comme toutes les armées du monde. Roland von Hoesslin fut de ceux-là. Sa vie, exceptionnelle de droiture, restera longtemps encore un exemple (...) Lorsque le voile tomba de ses yeux, il ne les referma pas comme tant d'autres, il ne choisit pas la facilité, mais se mit à la disposition d'une entreprise qui cherchait l'élimination du monstre et la réhabilitation de l'Allemagne". Par deux fois, l'auteur rappelle ces mots d'un des conjurés du 20 juillet 44, Henning von Tresckow à son ami Fabian von Schlabrendorff, avant de se donner la mort: "Si Dieu a promis à Abraham qu'il ne détruirait pas Sodome si un seul juste se trouvait entre ses murs, j'espère que, à cause de nous, le fléau sera épargné à l'Allemagne." Ce livre est à lire, tout comme "Un Franciscain chez les SS". Et plongez-vous dans le film, un rien austère, mais vraiment édifiant "Sophie scholl". |
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Passionnant, mesuré, éclairant
Comme toujours, Michel del Castillo se lit avec plaisir.Pour ce livre, il a lui-même lu presque tout ce qui a été écrit sur Franco. Il en ressort un texte plutôt paisible, mesuré, essayant d'être dépassionné. Son effort d'honnêteté est visible et très appréciable. Michel del Castillo refuse d'extrapoler. On perçoit à quel point il cherche la vérité. Castillo ne cache rien des limites de l'homme, et les exprime parfois avec une certaine rudesse. Il ne cache pas non plus la cruauté de la période' et rappelle avec à propos que les Nationalistes n'ont pas été les seuls à tuer...'' ce que beaucoup de soit disant Républicains d'aujourd'hui aimeraient encore gommer. On nous rebat les oreilles de Guernica (en oubliant volontairement de préciser que les centaines de morts sont dues aux avions allemands qui n'étaient pas sous les ordres de Franco)' sans jamais évoquer Paracuellos! Et pourtant, là, les communistes ont massacré de manière plus ignoble et systématique que les Nationalistes ne l'ont jamais fait! Michel des Castillo se situe au delà de l'idéologie et nous livre le portrait passionnant d'une époque, à travers celui d'un dictateur conservateur qui n'était pas un fasciste. Il montre les évolutions politiques et les mentalités espagnoles, c'est très intéressant. Espagnol, ayant vécu toute cette période sur place puis réfugié en France, l'auteur expose également quelques souvenirs. Sa situation de "victime" à l'époque, ne déborde pas sur une objectivité qu'il veut la plus nette possible. C'est très appréciable! Un très bon livre. Je ne mets que 4 étoiles car mon opinion diverge sur des points, mineurs dans la démonstration, en particulier dans la manière de considérer la sexualité. Michel del Castillo me semble plus permissif que je ne le suis. |
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Mensonger
Dans son livre, M Maalouf ose écrire "le sac de Jérusalem (en 1099) est le point de départ d'une hostilité millénaire entre l'Islam et l'Occident". Puis il dit que les croisades ont été ressenties comme un viol. Ce que les historiens musulmans de l'époque n'ont pas du tout exprimé ainsi d'ailleurs.Monsieur Maalouf "oublie" l'effort millénaire de l'islam pour submerger le christianisme, le réduire, et, à terme l'anéantir… Entre Poitiers (732) et Vienne (1683), les pointes extrêmes des agressions militaires, il y a mille ans. Dès le départ, l'expansion de l'islam se fait par la guerre et la conquête. Syrie (633), Palestine (638), Egypte (642), Cyrénaïque et Tripolitaine (642). L'Afrique du Nord aux 350 diocèses chrétiens est attaquée dès 649 mais ne tombe définitivement qu'en 711. Espagne (714), Provence (719), Bourgogne ravagée en 725,… jusqu'au coup d'arrêt porté par Charles Martel. Attaque de Rome en 846, prise des Baléares en 902, de la Sicile en 830, de la Crète en 827. Bulgarie, Serbie et Valachie entre 1389 et 1396. Constantinople en 1453, Grèce en 1456, Hongrie 1526, invasion de l'Autriche et Vienne assiégée une première fois en 1529, une deuxième fois en 1683. Alors, où est le viol? Il est vrai que, pour l'islam, tout ce qui n'est pas musulman est comme une tache qui doit être éradiquée afin que la pureté (islamique) voulue par Dieu soit étendue partout. La tache est ressentie comme un affront qui légitime la réaction violente de la victime offensée par l'existence de cette tache. L'islam: une razzia érigée en guerre sainte. |
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Du bon sens, à pleines pages
Voilà un livre à faire lire aux parents mais aussi à tous ceux qui encadrent des enfants. Il est facile d'accès, débordant de bon sens pratique et de repères concrets. Je compte bien l'utiliser largement pour contribuer à la formation des éducateurs que j'encadre.Un bémol: une page à laquelle je n'adhère pas évoquant les "shakras" pour expliquer des notions d'une manière un peu hermétique pour notre culture. Le reste est d'un évidence passionnante. |
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Quand la réalité dépasse la fiction !
Epoustouflant, truculent, passionnant. Un témoignage débordant de vie et de simplicité. De l'aventure à toutes les pages. Ce livre plaira aussi aux adolescents.Il apporte également une vision intéressante qui enrichit la perception manichéenne que nous nous faisons souvent des "allemands". Tous n'étaient pas nazis, y compris dans la SS. Et il y avait des résistants partout aussi en Allemagne, en particulier chez les chrétiens qui étaient visés par les nazis - à cause de leur grande capacité à nuire au régime- avant même les juifs (ce qu'on ne dit pas assez), parce que "l'Eglise s'était infiltrée partout". De nombreux éléments sont historiquement très intéressants. En particulier sur ces camps de prisonniers allemands, implantés en Afrique du Nord, où leurs "pensionnaires" sont restés des années après la fin de la guerre. Enfin, ce livre manifeste combien la vie en Dieu est le contraire du train train ennuyeux. Vous voulez vivre une vie étonnante? Géréon-Karl vous livre une clé pour y parvenir. |
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Passionnant, émouvant
De l'aventure, de l'humour, du sacrifice. La guerre est une horreur, cela ne nous est pas épargné. Elle révèle aussi des qualités extraordinaires chez de nombreux soldats. Nous le percevons à chaque page. Un livre de mémoire, qui nous tient en haleine, nous faire rire aussi, et nous livre des épisodes à peine croyables et si vrais. |
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Tout à fait percutant
Un livre maître pour réfléchir et comprendre le malaise de nos sociétés qui refusent les différences, dans tous les domaines, poussant au mimétisme et au "mouton de panurge": on tolère ce qui est semblable, et on jette l'anathème sur ce qui est différent, par peur, par idéologie. Or c'est de la différence que naît la vie. |
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Tout à fait passionnant, et érudit
De lecture assez facile, mais demandant une certaine attention et quelques notions sur l'islam, ce livre éclaire avec précision le "background" de la naissance de l'islam. C'est précis, clair, riche. Et le livre est agréable à avoir entre les mains, ce qui rend la lecture plus agréable encore. |
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